« Rien n’est tabou, rien n’est caché, rien n’est édulcoré. On se croirait revenu aux grandes heures du théâtre de l’opprimé, quand la scène savait imaginer des solutions collectives aux problèmes de société par la discussion. Le public est embarqué dans l’audience publique, et il y a fort à parier que les débats continuent entre spectateurs au retour du spectacle. »
« Au final, on sort en ayant l’impression d’avoir significativement progressé dans l’appréhension de cette question de la zone grise du consentement mais aussi certainement davantage éclairé sur sa manière de l’approcher. »