« Neuf morceaux structurés sur lesquels les trois musiciens, se complétant parfaitement, varient les ambiances et les rythmes (...). À tort et au travers est un beau disque hors des modes, à écouter sans idées préconçues. »
Philippe Thieyre in Rock'n'Folk, septembre 2020
« Pour peu qu’on déroule les rencontres de ces trois zigues, on entre dans un de ces mondes parallèles qui effraient les plus téméraires. Et là, c’est très fort ! Tout dérape, tout échappe, tout s’emmêle. Avant- garde ? Cela ne se dit plus. Post-punk, si l’on veut, tendance « drone metal » : captivant. »
Francis Marmande in Le Monde, le 7 août 2020
« Vous aimez Arto Lindsay, Adrian Belew, Jeff Beck, Marc Ribot et James Blood Ulmer ? (liste non exhaustive). Vous aimerez ce disque qui s'affranchit des rigueurs stylistiques pour mieux s'inventer un genre, le sien. »
Noadya Arnoux in Jazz Magazine n°730, septembre 2020
« Bref un mélange détonant, détonnant aussi parce qu'il casse les codes, et qui nous étonne par la somptueuse diversité de ses inspirations. »
Xavier Prévost in Les Dernières Nouvelles du Jazz, le 6 août 2020
« Cette galette est pleine de surprises, comme si chacun avait la fève à tour de roll. Trois petits rois illuminés qui auraient attrapé la fièvre du samedi soir. Avec eux on ne s'ennuie pas. Grand échalas courbé sur sa guitare, Don Pauvros donne du manche à coups d'effets. À une époque, on aurait appelé free-rock cette ébriété, pour clamer la liberté et son fantôme, ou pour endiguer la transe sans en faire des tonnes. »
Jean-Jacques Birgé in Mediapart, le 26 juin 2020
« À tort et au travers est un très beau disque. Une présence poétique s'y déploie tout le long du propos. Un flux d'énergie douce et de détermination épanouie résistent à l'âpreté du monde. »
Fabien Barontini, 21 septembre 2020