Situé dans le 13ème arrondissement de Paris, le théâtre Dunois s'est engagé depuis 1999 à promouvoir le spectacle vivant auprès des jeunes spectateurs et de leurs familles, à travers une programmation pluridisciplinaire ambitieuse mêlant danse, théâtre, marionnette, musique, arts plastiques et arts numériques.
Cette identité forte et spécifique en fait un lieu incontournable pour le jeune public à Paris, si bien que de nombreux médias s'y sont intéressés de près depuis sa création.
Nous avons rassemblé ici pour vous un florilège des différents articles ou reportages à propos du Dunois :
BFM PARIS
Jeudi 14 février 2019 BFM PARIS est venu nous rendre visite.
PARIS LOVES KIDS
Article publié en juillet 2015 sur le site internet Paris Loves Kids pour présenter le théâtre Dunois et sa programmation
"La programmation du théâtre Dunois est entièrement dédiée au jeune public. Avec plus d’une quinzaine de spectacles sur la saison 2016/2017, le théâtre propose des spectacles pluridisciplinaires, contemporains et offrant une double lecture permettant de partager un moment avec les enfants. Cette programmation a été pensée pour émouvoir, questionner et divertir. Avec une dimension d’éveil très présente, elle s’adresse à un large public de 2 ans à 13 ans et plus et saura forcément vous surprendre avec une sélection de qualité…"
LE BONBON
Article réalisé en janvier 2016 par le magazine Le Bonbon pour présenter le théâtre Dunois et sa programmation à destination des tout-petits
LE PETIT TREIZIÈME
Reportage vidéo sur le théâtre Dunois réalisé en janvier 2017 par Le Petit Treizième, une société de médias dont l'objectif est d'aller à la rencontre des gens qui participent à la vie du 13ème arrondissement, qu'ils soient commerçants, indépendants, artisans associations ou simples résidents.
RADIO CAMPUS - Pièces Détachées
Reportage radio diffusé en décembre 2017 dans l'émission Pièces Détachées de Radio Campus pour faire découvrir le théâtre Dunois (visite du lieu, présentation de l’équipe, et interview de la directrice Nelly le Grévellec)
LE PICCOLO (n° octobre 2018)
La lettre des professionnels du jeune public
LA LETTRE DU SPECTACLE (n°436 - 19 octobre 2018)
Et voici ci-dessous tous les articles à propos des spectacles que nous avons accueillis.
(retrouvez-les aussi sur chaque page de spectacle, rubrique "DANS LA PRESSE")
La Dépêche du Midi
« La jeune comédienne Jeanne Lepers a su interpréter la volonté de vivre sans limites, de tout découvrir, dans la merveilleuse naïveté d'un petit garçon de quatre ans. »
« Nous sommes assis au-dessous d’un immense champ d’herbes blanches suspendu au-dessus de nos têtes. « C’est bien ennuyeux de rester là immobile. Peut être que son père et sa mère l’emmèneraient se baigner ? » L’herbe est plus haute qu’elle, elle s’y engouffre, se couche sur le dos et reste à regarder le ciel, ses yeux se ferment. Au son de la musique, elle lève les bras et les jambes, se tortille au rythme de la musique. Elle se lève et avance à grandes enjambées, elle danse en traversant l’espace. Pourquoi il rit, l’homme avec le gros ventre et sa femme, seuls comme les vagues ?
Ce solo onirique fascine les jeunes spectateurs rassemblés autour de l’espace scénique. »
« Dans leur adaptation du livre de Fabio Geda Dans la mer, il y a des crocodiles, les metteuses en scène conservent la forme dialoguée originelle et plongent le public, grâce à un dispositif bifrontal, au cœur du récit, au plus proche des personnages. » Françoise Sabatier-Morel
« Crocodiles raconte une histoire. Celle d'Ulysse, épuisé, recueilli par Nausicaa. Oh, bien sûr, dans "Crocodiles", elle est un peu vieille, un peu revêche et tatillonne mais miraculeuse. Car elle n'ignore pas l'enfance. Europa est son nom. Devant ce très beau spectacle, les parents et les enfants ont le regard grave et émerveillé. » Jean Grapin
« Il y a une nécessité urgente de raconter l’histoire au monde. Pas celle qu’on nous montre à la télé, à grand renfort d’images choc et contre productives. La vraie histoire, celle d’Enaïat, un enfant migrant qui n’ a pas d’autre choix que de fuir en s’arrangeant avec la réalité souvent abrupt du monde adulte. La pièce raconte ses années d’errance, sorte d’odyssée des temps modernes librement inspirée de l’exil forcé d’Enaiatollah Akbari et de sa folle épopée qui force le respect. Et donne matière à réfléchir. » Marie Sophie Boivin
Vivre Paris (n°32)
« A dix ans, Enaiat, enfant afghan et hazara, est abandonné au Pakistan par sa mère qui souhaite le protéger des persécutions subies par son ethnie. Commence alors pour le jeune garçon un périple jusqu'en Europe durant lequel il devra lutter chaque jour pour sa survie. Adaptée par la compagnie Barbès 35 du libre de Fabio Geda Dans la mer il y a des crocodiles : l'histoire vraie d'Enaiatollah Akbari, la pièce Crocodiles retrace avec émotion l'odyssée de cet Ulysse autant contemporain qu'universel. » Elsa Gabbi
« Qui n'a jamais transformé sa mousse de bain en iceberg flottant, en crème Chantilly ou en barbe blanche ? Avec au centre de la scène un énorme cube de véritable mousse de bain, un personnage joue avec la matière, l'imaginaire. [...] De gestes tendres (il pose un morceau de mousse sur son épaule, comme un compagnon fragile) en exploration ludique (il fend la mousse, la sculpte…), l'interprète crée des moments de surprise suspendue »
« Petits et grands ensemble, on embarque sur les pas du danseur, la tête dans les nuages, le corps dans une mer blanche et douce d'où chaque geste sort comme neuf. Jeune homme ailé aux pieds légers, Samuel Watts (et Rémy Bénard en alternance) sait façonner le minuscule comme déplacer les montagnes... Quelle poésie ! C'est beau. On plonge ! »
« Ils sont rares les grands spectacles à destination des tout-petits. Ce Petit Bain conçu et mis en scène par Johanny Bert est un miracle d’exigence et de délicatesse. »
« Les enfants sont happés, les parents aussi. Rarement le théâtre jeune public n’aura touché des cordes aussi sensibles, universelles et intergénérationnelles. Une pépite. »
Bubble Mag
« Un danseur s'amuse, tout comme les enfants, à transformer la mousse en personnage, neige ou nuage, jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse. Chacun est libre d'interpréter ce qu'il voit. Une proposition qui invite, tout en délicatesse, à se raconter des histoires. »
I/O Gazette
« Un de ces spectacles dont l'on ressort avec les yeux qui brillent, un magnifique secret qu'on a tout de suite envie de partager avec le plus de monde possible. Le petit bain est un grand spectacle. De ceux dont on se souviendra longtemps. Car Johanny Bert et son collaborateur Yan Raballand ont réussi un tour de force : créer une pièce pour tout petits spectateurs aussi bien que pour les grands, avec ou sans enfants. »
« L’humour, les références qui amusent les enfants et leurs parents sont remarquables. [...] Des pérégrinations scéniques qui risquent fort de conduire les enfants à ne plus jamais voir leur bain comme avant. »
Theatrecontemporain.net
« Rendez-vous complice, Le petit bain augure déjà la promesse d’un moment poétique, vaporeux et délicat. »
« S’adresser au 2-5 ans demande de la patience. Il faut accepter un public « parlant » à l’attention aléatoire. Savoir les laisser rêver , puis les captiver est un art que maîtrise parfaitement Johanny Bert »
Reportage sur le processus de création de la marionnette de glace diffusé dans le journal de 13h20 du 28 mars au 1er avril 2016
Reportage sur Anywhere dans l’émission 64’ diffusée sur TV5 Monde le 29 mars 2016
« Ce spectacle fascine par sa lenteur et sa beauté envoûtante, le jeu délicat avec les matières et la pénombre, sa force poétique et cruelle. Du bel art ! » - Thierry Voisin
Interview d’Elise Vigneron et d’Hélène Barreau par Frédérique Roussel
« Ce n’est pas la première fois qu’Elise Vigneron manipule de la glace mais la métaphore cette fois est saisissante. L’évolution de ce petit corps gelé qui coule - dont les yeux noir d’encre fondent comme s’il s’agissait de larmes – raconte au-delà des mots l’errance du personnage, son exil intérieur, puis sa disparition… Jusqu’à n’être plus que vapeur d’eau. Inoubliable. » - Maïa Bouteillet
Interview d’Élise Vigneron dans Turn the light on – Mercredi 22 Février 2016
Interview d’Elise Vigneron dans Les carnets de la création de Aude Lavigne - Jeudi 16 mars 2016
Zibeline
« Entre glace, eau, vapeur, se dessine l’univers poétique et délicat de l’errance de Anywhere : rêve d’un tableau tour à tour support d’écriture et objet de sculpture, découpée au fer rouge, essais de brouillard d’où émergent les formes et le sens! et surtout, une marionnette de glace, OEdipe, qui évolue dans ce paysage incertain. »
Ventilo
« Elise Vigneron fait un théâtre d'ombre et de lumière, un théâtre de l'entre-deux, sujet, forme, matière. […] Anywhere, sa première création, est saisissante de beauté et de poésie. Une adaptation glacée du roman d'Henry Bauchau Oedipe sur la route. »
La Provence
« Anywhere a l’élégance et la pudeur d’un haïku, ces poèmes courts et codifiés issus du Japon, esquissant des paysages intérieurs. Et comme laissés en suspens. […] Pour nous conduire dans les profondeurs de cette « marche du monde », Elise Vigneron crée un univers étrange et feutré qui économise la lumière et les mots pour mieux mettre en valeur les étapes de transformation de la matière eau. »
Les Inrockuptibles
« Le périple initiatique se transforme en voyage intérieur quand de glace, son corps se transforme en eau puis s’évapore. L’espoir qu’une forme de rédemption est toujours possible. Une belle métaphore de cette condition humaine qui fait de nous des âmes prisonnières de nos corps. »
Théâtral Magazine
« On suit la transformation de deux personnes à travers ce matériau qui évolue. C’est une expérience sensorielle comme peuvent en offrir les installations plastiques. Et grâce au théâtre, cette expérience devient commune. »
France Culture
UNE COSMONAUTE EST UN SOUCI DANS NOTRE GALAXIE
« Sur la scène du théâtre Dunois, la compagnie de théâtre L'Embellie a installé des dizaines de panneaux que l'on voit habituellement au bord des rues et des routes : sens interdits et limitations de vitesse prennent ici un sens politique, et c'est avec une jubilation communicative que les deux comédiens s'en emparent pour mieux les retourner, les transformant en surfaces vierges. À l'aide de projections vidéos et de trouvailles de mise en scène, ce décor tout en interdictions devient, au fil du spectacle, le terrain de tous les possibles... » Maïlys Celeux-Lanval
« Au théâtre Dunois, imbattable pour programmer des créations jeune public toutes galaxie confondues, se joue jusqu’au 28 janvier une pièce énergique un tantinet féministe ou Axelle doit rivaliser d’imagination (mais pas que) pour imposer son rêve dans un monde si peu égalitaire […] » Marie Sophie Boivin
« Sur scène, une comédienne, un comédien, une musicienne beatboxeuse tantôt personnages de la pièce, tantôt eux mêmes, occupent un plateau-chantier. Au milieu de bidons, plots de chantier, rubans de signalisation, Axelle construit sa fusée, son avenir, comme un exemple de nouveaux rapports entre les femmes et les hommes que nous construisons peu à peu [...] »
Bubble Mag (hiver 2017)
« [...] Cette pièce, résolument féministe, pointe les inégalités qui demeurent entre les filles et les garçons, en mêlant « human beatbox », images documentaires, jeux de l’imaginaire et langage burlesque et poétique. Une proposition énergique et émancipatrice ! »
La Voix du Nord
« "Les filles sont les plus intelligentes et les garçons, c’est les plus forts !" Paroles d’enfants d’aujourd’hui, que les comédiens récusent. Ceux-ci parlent d’abord en leur nom, témoignent de leurs rêves (Marie l’actrice voulait être pompier), ils s’adressent au public, le bousculent et font jaillir les rires libérateurs. Lexie T, l’une des rares filles à pratiquer le beatbox, imprime un rythme d’enfer, électrique et punchy, entraînant Henri le comédien dans de loufoques entrechats en tutu fluo. [...] » Christian Furling
La Provence
« À travers cette histoire pleine d'imagination et d'énergie, la thématique de l'inégalité fille/garçon se pose. L'écriture plateau de Sarah Carré donne la possibilité aux comédiens de passer de personnes à personnages : un va et vient constant, sans intervalles : épatant. L'esthétique très urbaine et contemporaine nous rappelle sans doute la burtalité du monde dans lequel nous vivons. Ode à l'accomplissement et la réalisation de soi, ce spectacle fait du bien [...] » Inès de Domahidy
« [...] Avec Une Cosmonaute est un souci dans notre galaxie, on se sent vivant. Ça pulse dès l'ouverture et on se sent prêt à affronter toutes les injustices, celles qu'on a laissé enfouies en soi et celles qui touchent les autres. Spectacle pour enfants, théâtre dansé et musical, c'est d'abord un texte de combat que nous donne à entendre la Cie L'Embellie : un combat qui n'exclut pas le rire et la joie bien au contraire. » Emmanuel Bouclon
« Jour de première. La veille; la compagnie E.V.E.R s’est faite voler tout le matériel du spectacle. Et cette pièce est un concert : clavier, batterie, guitares, console…Alors, en quelques heures, ils ont cherché, se sont fait tout prêter. Et, à 14H30, le mardi 30 janvier ils étaient sur scène, comme si de rien était. Show must go on est peut être la leçon la plus dingue qu’ils ont offert aux collégiens cette après-midi là. [...] » Amélie Blaustein Niddam
« [...] Des voix, live ou pas, complètent ce voyage d’où nous sortons éblouis, émerveillés, comme venant d’un autre monde, grâce aussi à l’art éblouissant du vidéaste. » Cristina Agosti-Gherban
France Culture
« La couleur comme pilier de l'imagination. Léa Darrault est une artiste aux multiples facettes. Danseuse classique de formation, elle change d'univers quand elle découvre la danse contemporaine. Elle nous propose aujourd'hui son premier solo pour les petits et les tout-petits, une chorégraphie si expressive qu'on y perçoit parfois du mime. Chaque couleur, chaque ambiance, symbolise une étape de l'évolution de l'enfant vers l'âge adulte : apprendre à marcher, mais aussi se confronter à l'autre avec curiosité mais non sans contraintes. Elle choisit de faire parler son corps et son visage tout en subtilité à travers les rêves de son personnage, dans un monde imaginaire où la neige pourrait bel et bien être rouge. »
« Sur scène, une grosse boule de tissus d'où sortent un bras, une jambe, une tête et enfin une danseuse en entier. Ce costume boule représente le nid, le ventre de la mère. Puis la danseuse, au rythme de la musique, esquisse les mouvements du petit enfant qui veut prendre le large. Pour quitter un cocon si doux, si chaud, il faut trouver ce qui nourrit. Ici, c'est une guirlande que la danseuse-enfant sort de la boule, remet. Une fois hors de la boule, l'enfant fait des découvertes : matières, tissus colorés, plaisir du mouvement et de la liberté (glissades finales de la danseuse). Chiffonnade est un moment de plaisir de la danse à partager avec son enfant. » Françoise Sabatier-Morel
« Les chatons peuvent aller se rhabiller. Ce qu'il y a de plus mignon en ce moment à Paris, c'est indubitablement Chiffonnade, la création de la chorégraphe Michèle Dhallu pour la danseuse Suzel Barbaroux. [...] Cette courte pièce de 30 minutes est l'une des plus célèbres de la compagnie Carré blanc. Vraiment, à ne pas manquer ! » Maïlys Celeux-Lanval
Françoise Sabatier-Morel est venue présenter son top-5 de sorties avec les enfants, dont Chiffonnade fait partie : elle en parle à partir de la minute 71:15 ici
TREMBLEZ, MACHINES ! ANIMAL ÉPIQUE
« [...] Œuvrer à quatre mains ? A deux ils ont un talent fou pour se jouer des circonstances, détourner les objets, expérimenter et inventer des dispositifs pour nous surprendre. Suspendus à leurs gestes, on découvre la chose en train de s’inventer, l’énergie créatrice d’un espace ouvert et partagé. » Maïa Bouteillet
« [...] Sous des dehors légers, Tremblez, machines ! montre que l'art est un jeu, et ouvre des interrogations sur soi et l'autre : comment trouver un terrain de jeu commun ? Comment exprimer ce que l'on perçoit ? » Naly Gérard
Emission Les Nouvelles Vagues
Mediapart | Le blog de Guillaume Lasserre
« Au Théâtre Dunois, Pourquoi les riches, la nouvelle création théâtrale de la Cie Vaguement compétitifs, manie avec humour et poésie les travaux des Pinçon-Charlot pour dénoncer la violence des riches dont l'Etat semble désormais tributaire. Destinée au jeune public et fortement conseillée aux adultes, elle invite à la réflexion en réveillant une pensée critique. [...] » Guillaume Lasserre
Article dans le numéro d'avril 2017
« [...] Sur scène, les deux enfants de Zeus, Eris, la déesse de la Discorde, et Arès, le dieu de la Guerre, reconstituent les nombreux méandres, échos et jeux de miroirs de la guerre de Troie. Les mots se mêlent aux manipulations d'objets et à la musique pour faire résonner un mythe de plus de deux mille cinq cents ans, soufflant à nos oreilles comme un écho vivant de notre humanité. » Thierry Voisin
« [...] La cacophonie de la guerre retentit, non sans un certain humour des 2 manipulateurs, s’agrippant aux rideaux frangés aux sons de la musique d’Olivier Mellano. Ce mythe revisité avec allégresse fascine les petits enfants rassemblés dans la salle. [...] » Edith Rappoport
Ouest France
« Icare et son père, Dédale, sont enfermés dans le labyrinthe que ce dernier a lui-même créé. Pour sortir de ce piège inextricable, l'ingénieux Dédale a l'idée de fabriquer des ailes. Cependant, l'enfant désemparé, entre le flot de recommandations paternelles et les fugaces et dansantes apparitions de sa mère disparue, s'interroge : comment trouver son chemin ? Comment grandir ?… Sur une scène sculptée par la lumière, trois comédiens interprètent les quatre rôles (au trio familial s'ajoute le chœur antique) de cette réécriture du mythe d'Icare. En jeu ici, la relation parents-enfants, la difficulté à communiquer, à s'exprimer, à entendre. Une mise en perspective intéressante, dont les enjeux suggérés et les voix entremêlées disent la nécessité de l'écoute et de la parole juste. » Françoise Sabatier-Morel
« Tout près d’Alice est une plongée féérique adaptée aux plus petits et De l’Autre côté d’Alice, une déambulation expérimentale et fantaisiste en six tableaux pour les plus grands. Dans ce théâtre de corps, mis en scène par Christine Le Berre, les objets et les marionnettes sont gagnés par le mouvement qu’insuffle le vif imaginaire de la danse. »